Le ministre des Affaires étrangères du soi-disant « gouvernement de salut » du coup d’État, Abdoul Hamid Naimi, a appelé à « la destitution du chef de la Haute Commission électorale, Imad Sayeh, afin que ces élections ne se transforment pas en passerelle vers de nouvelles guerres », selon sa revendication.
Naimi, dans un article sur son compte « Facebook », a affirmé : « Afin de tenir les élections à la date proposée le 24 décembre, et afin que les élections soient une véritable passerelle vers un nouveau phase de paix et de construction, et ces élections ne se transforment pas en Une porte d’entrée vers de nouvelles guerres, éliminant ce qui reste de l’entité de l’Etat libyen, Sayeh doit être licencié, et un nouveau comité administratif doit être désigné qui remplit les conditions nécessaires pour cette tâche », selon son affirmation.
Il a souligné que « la plus importante de ces conditions est la neutralité envers toutes les parties, et qu’elle a le niveau minimum de culture politique, pour réaliser les conséquences politiques de ses mesures techniques, et pour se conformer aux décisions de la Conférence d’Hurghada, qui a eu lieu entre les deux commissions mandatées par la Chambre des représentants et ce qu’on appelle le « Haut Conseil d’État », avec la participation de la mission de l’ONU, au sujet de la règle constitutionnelle qui stipule la nécessité de tenir un référendum sur le projet de constitution, et si cela n’est pas possible, le projet de constitution sera adopté en tant que règle constitutionnelle temporaire pour une législature », selon son affirmation (…)