Le chef de la Libyan Media Corporation abolie, Mouhamad Bayou, a estimé que l’une des conditions que la Chambre des représentants doit demander au chef du gouvernement est qu’il n’ait pas commis de crime de contrefaçon de son diplôme.
Bayou, dans son message sur Facebook, a souligné la nécessité pour lui de ne pas être impliqué dans les crimes de népotisme, de corruption et de falsification du dossier de candidature électorale, notant qu’il s’agit de crimes commis par Abdel Hamid Dbeibah.