Olfa hamdi, chef du Parti de la Troisième République, a déclaré dans une déclaration à Mosaïque aujourd’hui, dimanche, que le naufrage du navire “Exilo” dans le golfe de Gabès est dangereux, et que la priorité de l’État est de réduire les pertes et de contenir le problème.
Elle a souligné que l’une des priorités les plus importantes de l’État, des municipalités et de la société civile est de préserver l’environnement et de nettoyer l’océan comme l’un des droits de l’homme les plus importants, y compris le droit à la vie, aux soins et à vivre dans un environnement propre et sain.
Elle a également déclaré que l’une des priorités les plus importantes du pays est de préserver ses richesses, notamment les terres agricoles et les richesses de la mer, et l’exploitation adéquate de ses ressources.
Elle a ajouté que l’un des programmes les plus importants sur lesquels travaille son parti de la Troisième République est la bonne utilisation des ressources de l’État et de ses diverses richesses, la promotion des investissements et le nettoyage de l’environnement et de l’océan par voie terrestre, maritime et aérienne.
Elle a indiqué qu’avec les progrès technologiques et les investissements dans le domaine de la lutte contre la pollution industrielle et la valorisation des déchets, les zones industrielles dans le monde ne sont plus des centres fermés, mais sont également ouvertes à l’habitat.
“Nous sommes intéressés par tout dialogue national…”
Dans un autre contexte, Olfa Al-Hamidi a déclaré que son parti sera intéressé par tout dialogue national qui met le dossier économique sur sa table et améliore les conditions de vie des citoyens pour l’avancement du pays.
Elle a ajouté que toutes les parties concernées par les affaires nationales doivent abandonner les contradictions et les classifications fondées sur des considérations idéologiques et politiques qui divisent, et converger vers des objectifs communs qui servent les intérêts du pays, et s’entendre sur un programme et une vision économiques visant à augmenter la productivité et la compétitivité de la main-d’œuvre tunisienne, à réaliser l’autosuffisance agricole, et à dissoudre le problème du déficit énergétique, ce qui permet d’augmenter le revenu tunisien par habitant et de doubler les exportations.