Le Secrétariat général de l’Organisation marocaine des droits de l’homme et de la lutte contre la corruption a déclaré qu’il “déplore vivement l’apparition d’enfants en uniformes militaires recevant, samedi à Tindouf, l’envoyé de l’ONU au Sahara marocain”, considérant qu’il s’agit d’une “rébellion dangereuse contre les lois, chartes et pactes humanitaires internationaux, notamment ceux relatifs aux droits de l’homme.”
Le Secrétariat général de l’Organisation marocaine des droits de l’homme et de la lutte contre la corruption a indiqué, dans un communiqué, qu’il “déplore les violations par la bande du Polisario du droit et des normes internationales, et le silence injustifié de l’organisation internationale sur ces violations, malgré la protection accordée par le droit international et les normes internationales aux enfants dans les conflits armés.”
La déclaration signée par Nabil Ouazza, secrétaire général de l’Organisation marocaine des droits de l’homme et de la lutte contre la corruption, affirme que “la bande du Polisario sépare les enfants de leurs familles dans le but de les recruter et de les exposer à des meurtres, des mutilations et des abus sexuels, et de les exploiter de la manière la plus odieuse qui soit.” les droits et le bien-être de l’enfant, ainsi qu’en vertu du statut de la Cour pénale internationale et de toutes les normes internationales.”
Le secrétariat général de l’organisation a estimé que “la place des enfants des camps de Tindouf n’est pas dans les camps d’entraînement militaire, mais dans les écoles”, ajoutant que “ces enfants doivent être mis en mesure d’accéder à la connaissance, à l’éducation et d’apprendre la paix, et non la haine, la guerre et la peur, car ils méritent d’acquérir les qualifications et les compétences nécessaires pour construire un avenir… prospère et meilleur”.
Le Secrétariat général de l’Organisation marocaine des droits de l’homme et de la lutte contre la corruption a appelé la communauté internationale à “agir de toute urgence pour mettre un terme au recrutement et à l’exploitation des enfants par la bande du Polisario, depuis les couloirs du Conseil de sécurité des Nations unies, et sur la base du chapitre VII en transmettant les cas de recrutement au procureur de la Cour pénale internationale pour enquête et instruction. “.