La rentrée scolaire effective au titre de l’année scolaire 2021-2022 a été reportée au 1er octobre prochain, a annoncé lundi le ministère de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
Cette mesure s’applique à l’ensemble des établissements d’enseignement universitaire, aux centres de formation professionnelle, aux établissements d’enseignement originel aussi bien privés que publics ainsi qu’aux écoles des missions étrangères, précise le ministère dans un communiqué.
Le report concerne l’enseignement public, privé ainsi que les missions étrangères, annonce un communiqué du ministère de l’Education Nationale publié ce lundi 6 septembre.
Le ministère de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique annonce la décision de reporter le début effectif de la rentrée scolaire 2021-2022 au vendredi 1er octobre 2021.
Cette décision concerne tous les établissements scolaires et universitaires, les centres de formation professionnelle et les établissements d’enseignement des secteurs public et privé, ainsi que les écoles des missions étrangères.
Cette mesure permettra, pour les établissements où tous les apprenants seront vaccinés d’ici là, de revenir au présentiel intégral. Le retour au présentiel dépend de la vaccination et de l’amélioration de la situation épidémiologique.
Le report est motivé, selon le communiqué, par :
– L’amélioration de la situation épidémiologique dans le pays et la nécessité de consolider les acquis réalisés face à l’épidémie de « Covid 19 », et de renforcer la tendance à la baisse des cas enregistrés.
– Le bon déroulement de la campagne nationale de vaccination en général et le processus de vaccination pour les tranches d’âge « 12-17 ans » et « 18 ans et plus » en particulier. L’objectif est de permettre à tous les apprenants de bénéficier de ce processus qui contribuera grandement à l’atteinte de l’immunité collective.
– Assurer la protection de la santé et de la sécurité des enfants scolarisés, des cadres éducatifs et administratifs et de tous ceux qui fréquentent les établissements d’enseignement, de formation et universitaires,
– La nécessité d’éviter la survenance de tout revers épidémiologique, notamment par l’émergence de foyers au sein des établissements d’enseignement et de formation.