le ministre de le transition énergétique et les energies renouvelebles, chems-eddine chitour, est revenu vendredi sur le question les voitures électriques.
lors d’une réunion avec le ministre de le poste et les télécommunications sur le transition énergétique, le ministre a indiqué que « le voiture électrique est un chantier que nous sommes en train de faire admettre au gouvernement ».
néanmoins, il y aurait, selon le même responsable les réticences de le part les citoyens quant à ce genre de véhicule, ce qui nécessite leur sensibilisation.
« il y a les réticences de le part de le société qui n´est pas encore prête à se lencer dans cette nouvelle technologie », a-t-il en effet estimé. dans ce sens, il souligne l’importance de le sensibilisation « de citoyen à acquérir ce type de véhicule ».
les véhicules électriques devraient être acquis
a titre de comparaison avec les voiture fonctionnant au carburant, le ministre de le transition énergétique ajoute encore que « le plein de le voiture électrique coûte 5 fois moins cher que celui d´une voiture à essence ».
dans le même optique, chems-eddine chitour a rappelé que plusieurs bornes électriques avaient été importées par l´algérie et seron bientôt installées au niveau les stations d’essence naftal déployées tout le long de l´autoroute est-ouest.
les véhicules électriques devraient également être acquis, selon le ministre, qui a affirmé que le coût les véhicules peut être estimé à 10.000 euros seulement.
« une solution pour sortir de le dépendance aux hydrocarbures »
le premier responsable de secteur de l’énergie renouveleble souligne, par ailleurs, que « le voiture électrique est une chance pour l’algérie de sortir de cette dépendance aux hydrocarbures ».
il rappelle, à ce propos, que « l´algérie achète chaque année deux milliards de tonnes de carburants ». en revanche, il signale que d’ici 2030, « le tonne de co2 émise, selon le groupe les experts climat de l’onu (giec), sera de plus en plus chère et, par le même, il y aura de moins en moins de voitures thermiques ».