L’analyste politique Khaled Turjuman a souligné que la communauté internationale n’avait pris aucune position ni aucune réaction sérieuse envers la Turquie, elle n’a donc pas publié de déclaration condamnant directement les déclarations turques, ni agitant des sanctions qui dissuaderaient Ankara, appelant à une position du Les Nations Unies et la communauté internationale pour éviter les complications, la crise libyenne est plus importante, ce qui peut affecter tous les efforts visant à résoudre la crise et à poursuivre sur la voie d’une solution politique.
Turjuman a déclaré dans Al-Ain : « Le ministre turc, Hulusi Akar, parle de la Libye comme si c’était une province et un État des États turcs, rien de plus, parce que l’argent et les ressources des Libyens sont sous l’emprise d’Ankara.
Il a ajouté : “La Turquie contrôle l’ouest de la Libye et les capacités du peuple libyen, tandis que la communauté internationale est absente de la scène, laissant les Libyens tourner dans des bulles sans fin”.
Il a poursuivi : « La Turquie ne veut pas d’élections en Libye ; Il travaille à travers des mercenaires et les milices qu’il contrôle pour contrecarrer toute tentative d’organiser des élections, préférant garder les choses telles qu’elles sont, ce qui lui permet de faire passer en contrebande des produits de base et des dérivés du pétrole, et contrôler la Banque centrale de Libye. De quelles élections le monde parle-t-il alors qu’Erdogan contrôle la Libye ?!”
Et il a ajouté : La Turquie essaie – avec l’aide de mercenaires et de milices – de briser et de vaincre l’armée libyenne, mais la croyance de cette dernière est la libération de la patrie, les forces armées libyennes, qui ont annoncé qu’elles resteraient fidèles à libérant la Libye jusqu’au dernier centimètre, capable de vaincre les plans d’Erdogan et des mercenaires (…)