Le ministre du Travail et de la Réhabilitation, Ali Al-Abed, a affirmé que la Libye était prête à recevoir des travailleurs égyptiens souhaitant travailler dans le pays, notant que l’annonce de l’emploi se fera par l’intermédiaire du ministère égyptien de la Main-d’œuvre, qui sera abordé sur les secteurs dans lesquels nous besoin de travailleurs égyptiens.
Al-Abed a déclaré dans des déclarations au journal égyptien « Le septième jour » lors de sa visite actuelle au Caire : « Le gouvernement d’union nationale s’efforce de régler les conditions des travailleurs égyptiens entrés illégalement en Libye, en faisant circuler une circulaire depuis le début, de juin de ce mois, pour régler les conditions d’emploi, et nous avertissons également les travailleurs souhaitant travailler en Libye de traiter avec les bureaux de courtage afin de ne pas être fraudés.
Il a ajouté : « La main-d’œuvre qui entre illégalement en Libye en fait la proie de gangs criminels, car le gouvernement d’unité nationale veut réglementer l’entrée de la main-d’œuvre égyptienne légalement et légalement par le biais des ministères libyens du travail et de la main-d’œuvre égyptienne.
Il a poursuivi : « Le marché libyen est ouvert et accueille un très grand nombre. La détermination de la taille du nombre de travailleurs ciblés dépend du retour du trafic aérien direct depuis divers aéroports égyptiens, complétés par les aéroports libyens. Le travailleur égyptien est le bienvenu en Libye, puisqu’il possède les compétences et l’expérience lui permettant d’accomplir le travail qui lui est confié dans les délais fixés. » déterminé avec l’employeur.
Il a ajouté : « Je refuse de travailler avec le système de parrainage, sur lequel les organisations régionales et internationales ont des réserves car il est contraire aux droits de l’homme, car la Libye préfère que la relation entre le travailleur et l’employeur soit directe par le biais de contrats officiels garantissant les droits le travailleur.”