En recevant vendredi 19 février au palais de Carthage Samir Majoul, président de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), le président de la République Kaïs Saïed a souligné que les principes et les valeurs ne peuvent pas faire l’objet de chantage.
« La lutte contre la corruption n’est pas seulement un vain slogan ou un discours galvaudé, mais plutôt une confirmation des principes d’abord, et de la poursuite des corrompus indépendamment de leur position ensuite », a martelé Saïed.
Par ailleurs, le chef de l’Etat a rappelé son suivi des difficultés rencontrées par les secteurs de l’industrie, du commerce et des industries de l’artisanat, notamment au vu de l’échec de l’élaboration d’une législation répondant aux attentes de ces secteurs, et à la lumière de l’état de chaos, ce qui affecte négativement non seulement ces secteurs, mais aussi les revenus de l’Etat.
La réunion a également porté sur la situation politique que traverse la Tunisie aujourd’hui.
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