Le directeur général de l’Institut Pasteur, Faouzi Drar, a révélé l’émergence d’une sous-souche du mutant Omicron “BA2” et “BA3” en Algérie. Comme l’a expliqué Durar, c’est Omicron qui a surmonté la courbe delta grâce à la vitesse de sa propagation.
Entre-temps, Dirar a ajouté, dans une déclaration à la Radio nationale, que “contrairement à l’année dernière, le système de santé n’était pas sous pression.” Il a poursuivi : “Bien que les indicateurs des mois de novembre et décembre laissaient présager que la quatrième vague serait dangereuse en raison du mutateur delta.”
Le Drar a également indiqué que “l’Algérie a récemment enregistré plusieurs cas de BA2 et de BA2, dont on sait qu’ils sont répandus dans certains pays européens. Tout comme au Danemark, en Afrique du Sud, aux Etats-Unis d’Amérique et dans certains pays asiatiques. En revanche, le Darrar a rassuré que “cette propagation ne suscite pas d’inquiétude, mais appelle à la prudence et à la vigilance.” En ce qui concerne le nombre de cas qui ont été exposés à cette nouvelle mutation, Darrar a indiqué qu’il sera annoncé ultérieurement.
D’autre part, Darar estime que “Omicron ne peut pas être considéré comme un gros rhume, comme certains le pensent, car c’est un virus.” Et qu'”il n’est pas possible de prévoir les changements qu’il subira et les complications qu’il provoquera dans le corps humain.”