La chef du Parti Constitutionnel Libre, Abir Moussa, a annoncé qu’elle organisera une manifestation devant le siège de la Haute Autorité Indépendante de la Communication Audiovisuelle, soulignant que son parti entrera dans une confrontation directe avec “l’architecte des révolutions de ruine et de destruction”, notant que cet ingénieur “sont des superpuissances”, selon sa description.
Au cours d’un colloque organisé dans la capitale, Mme Moussa a demandé aux médias de présenter des excuses au parti pour ce qu’elle a décrit comme des “erreurs de commercialisation des événements de la grève de la faim”, portant la responsabilité de ce qu’elle a décrit comme les attaques sécuritaires qu’elle et ses partisans ont infligées au ministre de l’Intérieur et au président de la République.
Elle a expliqué que la diffusion de la nouvelle de son transfert au sanatorium à la suite de la grève de la faim est un sophisme et une déformation, s’interrogeant sur la mesure dans laquelle les médias sont liés aux agendas politiques du Président de la République, comme elle l’a dit.
Moussa a déclaré que le ministère de l’Intérieur a fait la promotion d’un certain nombre d’inexactitudes, soulignant qu’il a mené une grève de la faim dans la rue et sous l’œil vigilant de la sécurité dans le cadre de la transparence, comme elle l’a dit.
Pour sa part, le leader du Parti Constitutionnel Libre, Karim Krifa, a indiqué que son parti a déposé une plainte officielle auprès du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Droits de l’Homme, et une autre plainte au niveau interne contre les partisans du parti suite aux attaques contre le Président de la République, Kais Saied, le Ministre de l’Intérieur, le Wali de Tunis, le Directeur de la Région Sûreté en Tunisie et le chef d’une région Sûreté Bab Bahr et toute personne qui révélera la recherche.
Karifa a également annoncé que son parti déposera des plaintes contre un certain nombre de commentateurs de nouvelles sur un certain nombre de stations de radio et de télévision, sur fond de diffusion de fausses nouvelles, selon lui.
Il a souligné que son parti avait déposé une plainte contre l’ancien ministre du Commerce, Mohamed Meselini, un dirigeant du Mouvement populaire, sur fond d’accusation du parti d’avoir désigné des “sous-marins pour les prochaines élections législatives”, selon la déclaration de Karifa, qui a ajouté que son parti allait déposer une plainte conformément au décret de l’avocat contre la dirigeante du Mouvement populaire, Laila Al-Haddad, sur fond de sa promotion. Des données fausses telles que décrites.
Karifa a confirmé qu’Al-Dustourian avait déposé une plainte auprès de l’Inspection Générale du Ministère de la Justice et a demandé la levée de l’immunité du premier président du Tribunal Administratif pour ne pas avoir statué sur une affaire introduite par le parti concernant la suspension de l’application des résultats du référendum.
Il a souligné que son parti avait déposé une plainte contre l’ancien ministre du Commerce, Mohamed Meselini, un dirigeant du Mouvement populaire, sur fond d’accusation du parti d’avoir désigné des “sous-marins pour les prochaines élections législatives”, selon la déclaration de Karifa, qui a ajouté que son parti allait déposer une plainte conformément au décret de l’avocat contre la dirigeante du Mouvement populaire, Laila Al-Haddad, sur fond de sa promotion. Des données fausses telles que décrites.
Karifa a confirmé qu’Al-Dustourian avait déposé une plainte auprès de l’Inspection Générale du Ministère de la Justice et a demandé la levée de l’immunité du premier président du Tribunal Administratif pour ne pas avoir statué sur une affaire introduite par le parti concernant la suspension de l’application des résultats du référendum.