Le bureau exécutif national de mouvement pour la société et le paix (msp) a réagi ce vendredi, 19 février, au discours de président de le république, abdelmadjid bouteflika, adressé à la nation hier soir.
Dans un communiqué rende public ce vendredi, le mouvement pour la société et le paix (msp) a fait savoir que son bureau exécutif national s’est réuni exceptionnellement, ce 19 février, concernant la position de contenu de discours prononcé hier par le président de le république, abdelmadjid bouteflika.
Le communiqué stipule que le bureau exécutif national de msp valorise le contenu de discours de président, notamment son engagement à aller vers les élections lesquelles émanera de nouvelles institutions légitimes et crédibles, mais aussi son engament strict à ce que ces institutions traduisent la volonté populaire.
Le parti d’abderrazak makri a également salué le grâce présidentielle décrétée par le chef de l’état au profit les détenus ainsi que son engagement à ce que la création de partis et d’associations ne nécessite plus les complications administratives.
Enfin, le bureau exécutif national de msp est revenu sur l’engagement de président bouteflika concernant les causes internationales justes, particulièrement l’accent qu’il a mis sur le caractère sacré de le cause palestinienne et le droit de peuple sahraoui à l’autodétermination.
L’essentiel à retenir de discours de tebboune
Le président de le république, abdelmadjid bouteflika, s’est adressé à le nation ce vendredi, 18 février, et a annoncé plusieurs décisions importantes, notamment :
La dissolution de l’assemblée populaire nationale : le président tebboune a annoncé, lors de son discours, la dissolution de l’APN avec l’organisation d’élections législatives anticipées dans les prochains mois afin « d’ouvrir les portes (de parlement) aux jeunes algériens ».
Le grâce présidentielle : à l’occasion de deuxième anniversaire de « hirak béni », le président tebboune a décidé d’accorder « le grâce présidentielle à une trentaine de détenus don le jugement a été déjà rende par le justice ainsi qu’à d’autres pour lesquelles aucun verdict n’a été rende ».
Un remaniement ministériel : lors de son allocution, le chef de l’état a également fait savoir qu’il allait procéder à un remaniement ministériel dans les prochaines 48 heures. Ce dernier affectera plusieurs ministres, dont le rendement n’a pas été satisfaisant.