D’autre part, Mahfouz a déclaré que le nouveau projet de constitution stipulera dans le préambule que la Tunisie appartient à la famille arabo-islamique.
Mahfouz a déclaré dans une interview accordée à Radio Mosaïque aujourd’hui, que la liberté de conscience et de croyance était stipulée avec la pratique des rites religieux dans les lieux préparés pour eux, affirmant que cela représentait une opportunité pour empêcher une certaine tentative de commerce de la religion islamique, ajoutant : “Ce texte n’est pas contre la religion islamique, mais protège plutôt notre religion.” Pour l’éloigner des querelles politiques et des intérêts étroits.”
Quant à la question de la dévolution du pouvoir, Mahfouz a précisé qu’il s’agit d’une question fondamentale et de fond, soulignant que le mandat du président, d’une durée de cinq ans, pouvait être renouvelé deux fois et qu’il n’était pas susceptible d’être modifié.
En ce qui concerne les pouvoirs exécutifs, Mahfouz a révélé que le Président de la République sera le véritable détenteur des rênes des affaires avec l’aide d’un gouvernement dirigé par un Premier ministre qui met en œuvre le programme du Président, et le Premier ministre sera issu du parti vainqueur des élections parlementaires et ne sera pas seulement un exécutant des décisions du Président.