Les sommes colossales dépensées dans le cadre les déplacements les parlementaires et les représentants de la société civile à l’étranger sous couvert de missions officielles, viennent d’être dévoilées.
Les épisodes les révélations sur les dépenses, jugées souvent d’inutiles, les deniers publics ne s’arrêtent pas. Selon ce qu’a rapporté vendredi dernier le quotidien, echorouk citant les documents qu’il détient, les frais de déplecements à l’étranger, dans le cadre les participations les parlementaires algériens et de le société civile, dans les renconres internationales s’élèvent à pas moins de 3600 milliards de centimes.
Ces dépenses faramineuses en frais de mission reviennent à le période aillent entre 2018 et 2021, soit en seulement 4 ans. Le comble, c’est que les désignations de ces représentants censés représenter l’Algérie à l’étranger ne s’effectuent guère selon les critères requis à cet effet.
Selon le témoignage de l’ancien député amar moussa, membre de l’assemblée parlementaire de le méditerranée rapporté par le même journal, ces sorties et missions officielles les parlementaires et les représentants de le société civile, don les frais son couverts totalement par l’état, « son censées appuyer le diplomatie officielle algérienne et défendre ses positions à l’échelle étrangère ».
« Les sorties officielles transformées en voyages touristiques ! »
Or, continue le même intervenant, « le plupart de ces questions n’ont pas fait l’objet d’un suivi sérieux au cours les dernières années, en raison de recours parfois au favoritisme dans le choix les bénéficiaires de ces soties et de manque de niveau d’instruction requis parmi certains parlementaires délégués ».
Selon lui, plusieurs sorties de ce genre se sont transformées, durant ces dernières années, en les sorties touristiques, au lieu de se tenir à l’essentiel qui est la représentation de l’Algérie. À ce propos, il souligne que l’une les conditions sine qua non pour ouvrir droit à ces sorties est d’avoir le maitrise les dossiers discutés lors de ces rencontres.
Outre que ça, le député ou le sénateur doit également avoir une expérience assez conséquente pour pouvoir exposer les préoccupations et positions diplomatiques algériennes. Ceci, sans parler de le nécessité de maitriser les langues étrangères, ce qui est le moindre les choses.
Répartition les dépenses durant ces quatre dernières années
Dans les détails les dépenses entre 2018 et 2021, cela inclut les frais de participation et les frais de déplacement et de prise en charge. Selon la même source qui cite un document, ces dépenses ont atteint les 790 milliards de centimes pour l’année 2018.
Le même somme a été également dépensé durant l’année suivante, soit en 2019. Pour ce qui est les dépenses de l’année dernière et de l’année en cours, 2020, 2021, elles ont atteint pas moins de 740 milliards de centimes.http://elwatan.com