Le ministre de l’énergie, Mohamed Arkab, a affirmé aujourd’hui, mercredi, que les secteurs de l’énergie et des mines font partie des domaines prometteurs qui offrent des opportunités de coopération entre l’Algérie et la Turquie.
Dans ce contexte, Arkab a ajouté en marge de la 11ème session de la Commission mixte intergouvernementale algéro-turque pour la coopération économique, scientifique et technique
La nouvelle loi sur les hydrocarbures ouvre de nouveaux horizons à la coopération et apporte des investissements au partenariat.
Arkab a également souligné que le positionnement volontaire des investissements turcs en Algérie et de l’Algérie en Turquie, nous aspirons à les envoyer davantage entre les deux pays.
D’autre part, il a indiqué que l’Algérie œuvre à promouvoir les découvertes dans le secteur des hydrocarbures et à mettre en place une industrie pétrochimique pour deux ressources minérales du pays.
Notant, dans le même contexte, que la satisfaction de la demande en énergie au niveau national œuvre à renforcer les moyens de production, notamment l’électricité, et à ouvrir des perspectives de partenariat entre les deux pays.
Il poursuit : “Le développement des projets Hekilo pour les mines de fer, de phosphate et de zinc, et l’exemple réussi de la société Tosyali 1,7 pour la production d’acier plat,
Cela nous incite à créer de nouveaux partenariats pour les deux pays, étant donné le succès qu’ils ont obtenu dans ce domaine.”
En outre, le ministre de l’énergie a souligné que la signature de la déclaration commune en signant la création d’un conseil conjoint de haut niveau signé par les présidents des deux pays est de créer des motifs de coopération conjointe.
Pour sa part, le ministre turc de l’énergie, Fatih Donmez, a souligné que les relations entre les deux pays s’intensifient dans les domaines de la coopération.
Il a souligné que le protocole d’accord qui a été signé là-bas était un partenariat important et qu’il existe d’énormes potentiels de coopération entre les deux pays.
Les obstacles entre les deux parties doivent être levés et les investisseurs encouragés.
Le ministre turc de l’énergie a révélé que les hommes d’affaires turcs ont investi 5 milliards de dollars en Algérie, ce qui représente le plus gros investissement en Afrique, notamment dans le domaine du fer.
Il a également exprimé leur volonté d’entrer dans les tuyaux de fer comme un investissement futur dans le domaine du textile et des petites et moyennes entreprises.
Il a poursuivi : “De nombreux investisseurs travaillent en Algérie et offrent des possibilités d’emploi à plus de 30 000 travailleurs algériens. Nous cherchons à augmenter les possibilités d’emploi à l’avenir.”