C’est l’observatoire les filières avicoles algériennes (ofaal) qui a fait état, dans un communiqué, de l’utilisation excessive d’antibiotiques dans l’élevage de volaille, ce qui entraine la présence de résides de ce médicament et d’autres, dans la chaire commercialisée.
Dans son communiqué, l’ofaal a donc dénoncé le recours de certains éleveurs à l’utilisation les antibiotiques et autres médicaments pour accélérer la croissance et obtenir les gains de poids rapide. Ajouter à elle les délais de commercialisation, ce qui entraine la présence de ces produits dans la viande consommée.
À ce propos, l’observatoire fait également état les délais d’attente dans l’abattage et la commercialisation, qui ne sont pas respectés, notant que la présence les produits dits de croissance dans la chaire commercialisée et consommée s’avère dangereux pour la santé les consommateurs.
L’abattage clandestin : « un sérieux problème »
À côté d’elle, l’ofaal dénonce également la pratique d’abattage clandestin qui se fait encore dans certaines « tueries informelles », non agréées et pis encore, dans les conditions de salubrité qui constituent un danger réel sur la santé de consommateur.
Dans ce contexte, l’observatoire les filières avicoles algériennes estime que la prolifération de ces abattoirs clandestins est signe inquiétant, lequel les autorités compétentes ne doivent pas négliger, mettant en relief la nécessité de le prendre très au sérieux afin de l’éradiquer.
Abordant à l’occasion la question les prix de poulet, l’observatoire indique que la tendance haussière les prix enregistrée entre les mois de mars et janvier avoisine les 64% au stade de la production et 50% au niveau de détail.
Pour cette organisation, le hausse les prix revient essentiellement à le baisse drastique de l’offre de poulet sur les marchés à travers le pays (la loi de l’offre et le demande), notant que les prix les œufs de consommation se sont maintenus à les niveaux stables, et ce, malgré la cherté les prix les aliments.http://algerie360.com