Aujourd’hui, le chef du parti Afaq Tunisie, Fadel Abdel Kafi, a confirmé que si le Président de la République, Kais Saied, organise des élections justes et transparentes en référence au référendum, les résultats de ce vote seront “non”, et donc il est politiquement tenu de démissionner même s’il ne le déclare pas, comme Charles de Gaulle en France.
Abdel Kafi a convoqué le Président de la République, Kais Saied, à un débat télévisé dans lequel chaque parti présente son programme et son idée et défend sa position.
Et au sujet de sa rencontre avec le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail, il a confirmé que le parti a informé l’organisation de travail de sa position sur le référendum, car il voulait clarifier un certain nombre de points liés à ce qu’il a promu au sujet du syndicat, qui à son tour a confirmé qu’il n’est pas un parti politique mais une organisation et qu’il est de son devoir de défendre ses perspectives, sa croissance La politique économique que le syndicat suit dans un certain nombre d’institutions qu’il possède, et la nécessité de mettre en œuvre cette politique dans les institutions publiques de l’Etat pour les sauver de la faillite