Le directeur exécutif adjoint de la Fondation Zanzibar de Tanzanie, Alhaji Matumwa Gaisha, a révélé qu’ils sont intéressés par des investissements mutuels avec l’Algérie.
Le même responsable a déclaré, dans une déclaration à An-Nahar Online, que leur institution est une autorité de promotion des investissements à Zanzibar, et son nom est ZIPA.
Il a expliqué que leur institution est une institution gouvernementale semi-indépendante qui fonctionne sous la loi de l’autorité de promotion et de protection des investissements.
C’est également la principale institution gouvernementale chargée de promouvoir et de faciliter les investissements à Zanzibar.
Le même porte-parole a déclaré que Zanzibar, en tant que destination d’investissement, destination commerciale et plate-forme d’exportation attrayante, sera un point de convergence pour les Algériens afin de promouvoir et de faciliter les investissements et les entreprises.
Selon l’orateur, un ensemble d’avantages résidentiels et d’investissements seront accordés aux hommes d’affaires investisseurs.
M. Djaisha a souligné que la Tanzanie possède d’énormes capacités d’investissement dans les domaines de l’énergie, des industries chimiques, des ressources naturelles, de la construction et de l’immobilier.
Il a expliqué que ces capacités lui permettent d’organiser des échanges avec l’Algérie dans ces domaines, d’autant plus que la partie algérienne est intéressée par ce type d’investissement.
Le coup d’envoi des travaux de la première édition de l'”Algeria Investment Conference” a été donné hier, samedi, au Centre international des conférences d’Alger – Abdellatif Rahal, dans la capitale.
L’Algérie accueillera la première édition de l'”Algeria Investment Conference” prévue les 6 et 7 novembre 2021.
La conférence a été organisée sous l’égide du ministère de l’Industrie, du ministère du Commerce, du ministère des Transports, du ministère de l’Agriculture et de la Pêche, du ministère des Postes et Télécommunications, du ministère de la Santé, ainsi que d’institutions émergentes.
La conférence verra la participation d’au moins 600 participants entre opérateurs économiques des secteurs public, privé et étranger, et les discussions porteront sur le contrôle des mécanismes d’investissement dans les secteurs vitaux.