Les dirigeants du Groupe des Vingt se sont engagés à s’efforcer de reprendre les voyages internationaux de manière sûre et ordonnée, conformément au travail des organisations internationales, à la lumière de la pandémie de Corona.
“Nous nous efforcerons de reprendre les voyages internationaux de manière sûre et ordonnée, conformément au travail des organisations internationales”, a conclu le sommet du G20.
Ont notamment été mentionnés l’Organisation mondiale de la santé, l’Organisation de l’aviation civile internationale, l’Organisation maritime internationale et l’Organisation de coopération et de développement économiques.
Ce que les dirigeants du Groupe des Vingt ont exigé, c’est que les ministères de la santé des différents pays du monde étudient les possibilités d’accélérer la vaccination dans le monde.
“Nous demandons à nos ministres de la santé de suivre les progrès réalisés à cet égard et d’étudier de nouveaux moyens d’accélérer la vaccination dans le monde si nécessaire”, ont-ils déclaré.
Selon le projet de déclaration finale, un accord a été conclu pour limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré par rapport aux niveaux préindustriels.
Le principal défi de cet accord est de connaître les moyens concrets que les États utiliseront pour respecter cet objectif.
Les dirigeants des pays du Groupe des Vingt ont convenu de limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré par rapport aux niveaux préindustriels, selon un projet de déclaration finale vu par l’AFP.
Le G20 réaffirme l’objectif de l’accord de Paris, qui est de maintenir le réchauffement moyen bien en dessous de 2 degrés.
Ainsi que la poursuite des efforts pour le limiter à 1,5 degré au-dessus des niveaux préindustriels.
Il va même jusqu’à dire que le maintien de l’objectif de 1,5 degré sous contrôle nécessite des actions et des engagements majeurs.
Selon la dernière évaluation des Nations unies, qui tient compte des nouveaux engagements de la majorité des signataires, le monde se dirige toujours vers une hausse “catastrophique”.
Les dirigeants des pays du Groupe des Vingt ont la lourde tâche de surmonter leurs divergences sur la manière de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre à l’origine du réchauffement climatique.
Le premier jour du sommet de Rome a été principalement consacré à la santé et à l’économie, tandis que le climat et l’environnement ont figuré en tête de l’ordre du jour de leurs discussions de dimanche.
Le G20, qui comprend le Brésil, la Chine, l’Inde, l’Allemagne et les États-Unis, est à l’origine d’environ 80 % des émissions de carbone. Qui, selon les scientifiques, doivent être sévèrement réduites pour éviter une catastrophe climatique.