Un reportage a parlé de ce qui attend la Libye après le succès du cessez-le-feu et la formation d’un nouveau pouvoir exécutif unifié, représenté par le Conseil présidentiel et le Gouvernement d’unité nationale.
Le rapport, publié par le site d’information américain Axios et porté par le journal libyen Al-Marsad, disait: La percée inattendue que la Libye a réalisée grâce à la formation du conseil et du gouvernement et la reconnaissance de tous les principaux acteurs ont motivé les États-Unis. faire preuve d’un optimisme rare quant à l’amélioration de la situation dans le pays.
Le rapport ajoute: Ce que l’on attend maintenant de la Libye, c’est d’expulser les combattants et mercenaires étrangers de ses terres, d’unifier ses institutions financières et militaires, de prendre une décision sur le régime et d’éliminer les effets d’une décennie de chaos, et d’organiser des élections, à condition que tout cela aura lieu le 24 décembre prochain.
Le rapport cite Mohammed Al-Darrat, l’envoyé spécial du gouvernement d’union nationale aux États-Unis, comme s’appuyant sur une expression britannique de “l’éléphant dans le salon”, indiquant qu’il existe un dilemme majeur auquel tout le monde évite de faire face, car cela n’est pas pratique pour certains.
Le rapport ajoute: Ce que l’on entend par ce terme est le commandant en chef des forces armées, le maréchal Khalifa Haftar, qu’Al-Darrat a décrit comme un «général voyou qui a tenté de renverser le gouvernement de Tripoli». Sa tentative a été repoussée grâce à les Turcs, et il est toujours une source de force dans l’est de la Libye, tandis qu’Al-Darrat a insisté sur le succès du gouvernement d’unité, le patriotisme dans ses tâches et la réalisation de ses objectifs (…).