Un haut fonctionnaire de la Haute Commission électorale nationale a reconnu plusieurs dilemmes menaçant de ne pas respecter la date limite du 24 décembre fixée par les Nations Unies pour les élections législatives et présidentielles.
Le responsable a souligné dans une déclaration au journal libanais «Al-Nahar Al-Arabi» que la possibilité de reporter les élections s’intensifie en raison de l’incapacité de résoudre la loi sur la base de laquelle les élections auront lieu, en outre au non-respect des exigences logistiques de la commission, accusant les partis nationaux et étrangers de «tenter de perturber les élections».
Il a déclaré que la décision politique concernant la tenue des élections à temps «n’a pas encore été décidée», et qu’il y a des différends internationaux entourant le processus, et qu’il y a des pays, qu’il n’a pas nommés, qui cherchent avec leurs alliés chez eux à faire obstacle à la processus afin de préserver leurs intérêts, soulignant que les pressions exercées par certains en faveur de la révocation du chef de la Commission électorale, Imad al-Sayeh, et la controverse persistante sur la nécessité de tenir un référendum sur la constitution avant les élections sont des excuses utilisées par ces partis pour ne pas adhérer à la date des élections.
Il a également ajouté: «Ils savent très bien que la publication d’une nouvelle constitution, à la lumière des désaccords sur ses articles, et du référendum sur celle-ci, prend au moins 6 mois, et donc les élections seront reportées d’au moins un an» révélant que le nouveau gouvernement libyen, lui aussi, ne s’est pas conformé jusqu’à ce qu’il soit réuni Le budget alloué au processus électoral.