Le ministre italien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Luigi Di Maio, a déclaré mardi que son pays est en mesure de remplacer la baisse des approvisionnements en provenance de Russie par trois gazoducs, dont la Libye.
“Le problème est que le prix n’est pas celui des contrats négociés, mais celui de la bourse du gaz d’Amsterdam, qui aujourd’hui est hors de contrôle, et les prix du méthane sont cent fois plus élevés que ceux des bourses asiatiques et américaines”, a ajouté Di Maio, selon l’agence italienne Nova.
Il a également souligné la nécessité d’une législation européenne et d’une action diplomatique pour travailler afin d’amadouer les quelques personnes qui ne se sont pas encore mises d’accord sur la fixation des prix du gaz.