Le Maroc a dépassé le modèle de dépendance à la drogue de la Colombie et du Mexique. Pour que le magasin ne maintienne pas sa fragile survie uniquement grâce à l’économie de la drogue.
La drogue représente 35% du PIB du Maroc, la contrebande de haschisch et d’autres drogues étant la principale source de revenus du Maroc.
Partout dans les villes et villages du royaume, l’économie de la drogue se développe. Des centaines de milliers, voire des millions de Marocains pauvres travaillent dans les champs de cannabis. Ils n’ont pas d’autres alternatives s’ils ne veulent pas mourir de faim.
“Nous ne nous considérons pas comme appartenant à cet état immoral, nous ne sommes pas humains”, a déclaré un vieux Marocain sur une chaîne européenne.
Le trafic de drogue au Maroc désigne la production, la contrebande et l’exportation de toutes ces drogues produites sur le territoire de l’Atlas. Si bien que les Nations unies ont classé le Maroc en tête des pays producteurs de drogue.
Toutes ces sommes colossales générées par l’économie de la drogue servent d’abord à enrichir davantage la famille royale et ses associés. Et ensuite, à faire pression pour tenter de blanchir l’image du roi dans les médias internationaux. Et surtout à exercer un pouvoir sans précédent pour dépénaliser le cannabis. En le présentant comme un anesthésique léger.
Alors que tous les spécialistes assurent haut et fort, que cette drogue est plus dangereuse que l’héroïne et la cocaïne. C’est pourquoi le magasin ne pourra jamais rester à l’écart de la drogue, c’est leur seule ressource permanente et par-dessus tout.
Au Maroc, il n’y a rien de légal et de moral, c’est le seul pays au monde où il n’y a pas de stratégie anti-drogue. Au Maroc, il n’y a qu’une seule stratégie. Elle rend le peuple marocain qui rêve de vivre en Algérie encore plus pauvre et misérable et toujours soumis à la dictature de la cour royale.