Aujourd’hui, dimanche, l’ancienne directrice du cabinet du président, Nadia Okasha, a confirmé avoir été exposée à un vol scientifique décrit dont elle avait connaissance un jour de juillet 2019, par la professeure d’université Mona Karim.
Elle a déclaré : “J’ai défendu mon droit à la paternité et déposé une plainte auprès des départements scientifiques, d’autant plus que le professeur susmentionné a également volé d’autres passages d’un article scientifique rédigé par un chercheur étranger.”
Elle ajoute : “J’ai été soumise à Hersla et on m’a refusé un contrat avec la délégation de l’Union européenne sous la pression de partis politiques influents”, faisant référence à Mona Karim, qui était alors une dirigeante de “Vive la Tunisie”.
Pour sa part, Karim, dans une interview accordée à Mosaïque, n’a pas nié son intervention pour empêcher l’activation du contrat, puisqu’il y a une affaire en cours contre Okasha, comme elle l’a dit.
D’autre part, Karim a nié les accusations de plagiat scientifique, affirmant qu’elle avait échoué au débat de Tabriz pour des raisons scientifiques.
En ce qui concerne les affaires portées contre elle devant la justice, notamment la fraude et la conspiration contre la sécurité de l’État, Okasha a précisé qu’elle n’avait pas volé d’argent public et n’avait pas trahi la confiance, affirmant qu’il y avait une fabrication de dossiers judiciaires pour la déformer et porter atteinte à sa réputation.