Le délégué de Washington aux Nations Unies a souligné que le moment était venu pour certaines parties libyennes d’arrêter de conclure des accords en coulisses afin d’accéder au pouvoir.
Dans son discours lors de la session du Conseil de sécurité de l’ONU sur la Libye, qui a été suivie par le journal Al-Marsad, l’ambassadeur adjoint des États-Unis auprès de l’ONU, Jeffrey DeLaurentis, a déclaré que son pays respectait le désir des électeurs libyens qui se sont inscrits de participer à la élections présidentielles et législatives, ce qui signifie qu’ils n’accepteront aucun leadership qui ne passe pas par le scrutin.
Le diplomate américain a salué la disponibilité de la Commission électorale, car c’est une autorité capable de mener remarquablement bien les élections électorales, mettant en garde toute partie interne ou externe contre l’entrave à ce droit car cela signifie que le Conseil de sécurité de l’ONU lui impose des sanctions tout en saluant le début des moniteurs de cessez-le-feu de l’ONU pour travailler en Libye.