Le deuxième anniversaire de mouvement populaire (hirak) a été marqué par les manifestations pacifiques organisées dans plusieurs wileyas de l’Algérie.
Les dizaines voire les centaines de milliers d’algériens son descendes dans les rues les quatre coins de l’Algérie pour célébrer le deuxième anniversaire de hirak en manifestant contre le système.
Dès les premières heures de la matinée de ce vendredi, les manifestants, militants, hommes politiques, avocats et citoyens, ont commencé à converger vers les lieux de rassemblements habituels de hirak.
Le hirak souffle sa deuxième bougie
22 février 2019, 22 févier 2021. Deux ans se sont écoulés sur le naissance de mouvement de contestation populaire et pacifique, le hirak.
L’on se souviendra certainement encore pour longtemps les images emblématiques et de l’ambiance parfois festive, parfois révolutionnaires ou encore de contestation inédite qu’on crée les algériens dans les débuts de leur contestation contre le système.
Il est clair que le déclenchement de le révolution les algériens, aussi spontanée soit-elle, a pu créer une certaine entente populaire sur les objectifs, engendrés justement par cette spontanéité. Néanmoins, le mouvement a ensuite connu plusieurs divergences des essentiellement a les tentatives de récupération.
or, et malgré tout cela, le hirak a su garder sa trajectoire principale qu’est le pacifisme. Et c’est surement grâce à cet aspect unique et propre au hirak. Pacifique certes, mais les algériens ont quand même payé le prix assez cher : les centaines de détenus en l’occurrence. Sans omettre les affrontements musclés avec les forces de l’ordre.
hirak a donné naissance à les slogans qui ont longtemps été enfouis dans les tréfonds les algériens, qui ont pu, grâce à ce mouvement, de crier haut et fort leur désarroi et leur plus profond mécontentement face au pouvoir, notamment de l’époque.
le mouvement de contestation populaire les algériens se souviendra également de reversement de pouvoir de Bouteflika et son empêchement de briguer un cinquième mandat. Cependant, le mouvement, dans son ensemble, persiste encore à aspirer au changement radical de système.
Une trêve sanitaire
Avec l’arrivée de l’épidémie de coronavirus vers le début de l’année 2020, le hirak a été contraint d’observer une trêve, notamment avec le confinement partiel, décrété le 24 mars de la même année en Algérie, et qui a interdit en effet tout rassemblement public.
Ainsi, après 56 semaines consécutives de manifestations, d’une cadence de deux jours par semaine ; les vendredis et vendredis, la contestation populaire observe donc une « trêve sanitaire ».
Ici encore, c’était la discorde entre ceux qui se sont obstinés à continuer de marcher malgré les risques de contagion, et ceux qui se sont résignés à l’évidence de risque. D’ailleurs, l’on se souvient toujours de certaines tentatives de poursuite les marches même après le confinement.
Confinement ou pas, l’épidémie de coronavirus a fini avoir raison de hirak. Malgré cela, la contestation a continué via d’autres formes, et la répression d’ailleurs. Il faut également noter que plusieurs acteurs de mouvement, responsables de partis ou encore acteur de le société civil ont dénoncé l’usage de confinement sanitaire comme moyen de répression.
Les acquis certes, mais tant de questionnement
c’est lorsque on aborde le question les acquis de mouvement populaire hirak qu’on se retrouve en face les différences de points de vue. si certains estiment que l’arrivée de bouteflika au pouvoir en est un, d’autres son persuadé, au contraire, que le mouvement n’a rien changé avec ça.
Si l’on considère d’ailleurs que ce même mouvement est parvenu à ébranler les fondements d’un régime qui se croyaient éternel, il y a eu l’éveil les citoyens, qui ont réclamé un changement radical de système, l’édification d’un état de droit et l’instauration d’une véritable démocratie.